La science et la géobiologie

Science et géobiologie : Où en est-on ?

Comment la science considère la géobiologie ?

L’approche scientifique standard a du mal à considérer l’approche « sensible » comme un vrai outil d’exploration de notre environnement.

Quelques expériences ont été menées à Munich et à Cassel pour tester les capacités des radiesthésistes à détecter l’eau et dont les résultats ne sont pas supérieurs au hasard. 

C’est le mode opératoire lui-même qui est la source de ces résultats : mettre quelqu’un dans un environnement ou on lui enlève toute possibilité d’utiliser sa sensibilité coupe effectivement de la sensation de l’eau.

A contrario aucune étude « terrain » n’a été menée scientifiquement pour vérifier la pertinence de la recherche de points de forages et les résultats obtenus après la réalisation du forage. Un groupe de sourcier en Bretagne obtient un résultat de plus de 95% de réussite à la découverte de l’eau, de sa profondeur et du débit. 

Et c’est bien largement supérieur au hasard.

Physique quantique et Géobiologie

C’est du côté de la physique quantique que l’on trouve le plus de passerelles vers la géobiologie.

Einstein et le mathématicien Elie CARTAN avaient émis l’hypothèse au début du XXe siècle, qu’il existait des courbures de l’espace-temps dues au mouvement angulaire des particules : les champs de torsion. 

Le scientifique Russe Nikolai KOSIREV a émis l’hypothèse que toute forme de vie utilise une énergie invisible de forme spiralée et que tout phénomène physique ou chimique (dont la croissante des plantes, les pensées et émotions humaines) produit un champ de torsion.

Les travaux d’Anatoly AKIMOV ont mis en évidence que tous les objets, du plus petit aux plus grands (de la particule aux galaxies), émettent des informations instantanément grâces aux vortex créés dans le vide.

Gennady SHIPOV a lui développé le modèle mathématique.

Les travaux de Vlail KAZNATCHEEV ont précisé que les champs de torsion qui tournent à gauche (lévogyres) sont défavorables aux processus vivants, alors que ceux qui tournent à droite (dextrogyre) sont eux favorable aux processus vivants.

À noter que l’électricité et les ondes électromagnétiques artificielles créent des champs de torsion gauche (lévogyre).

Enfin Alexandre RUSANOV sépare les champs de torsion statiques émis par la forme spécifique d’un objet (menhir, poteau, pyramide, Etc…), des champs de torsion dynamiques créés par les ondes électromagnétiques et qui ajoute une dimension informationnelle.

Toutes ces recherches rejoignent l’approche du géobiologue qui va chercher les nuisances dans l’environnement de la personne, l’ensemble des phénomènes artificiels (champs de torsion gauche) peut provoquer des troubles du sommeil, un vieillissement prématuré des cellules, perturber notre capacité à rester à l’équilibre de nos fonctions vitales (homéostasie).

L’information transmise par les champs de torsion émis par les cours d’eau souterrains, les zones de failles nous impacte également, c’est pourquoi ils font partie intégrante des recherches faites sur un lieu pour déterminer son niveau de nuisance pour le vivant.

Pour une définition plus complète de la géobiologie, retrouvez l’article Qu’est-ce que la géobiologie ?

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